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Vidéosurveillance à Lyon : un pas de plus vers la transparence du dispositif

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Célèbre pour avoir été la première ville en France à se doter d’un collège d’éthique de la vidéosurveillance en 2004, Lyon publie cet automne un guide qui livre pour la première fois les grandes lignes des mécanismes qui garantissent la liberté de ses citoyens. Explications.

L’événement marquera certainement le mandat de Daniel Chabanol, président du collège d’éthique de la vidéoprotection des espaces publics lyonnais. L’ancien président de la Cour Administrative d’Appel de Lyon a présenté lundi la nouvelle charte d’éthique de la ville de Lyon en la matière. L’idée étant de réactualiser cette charte datant de 2004.

L’idée lui est venue en 2011 au moment de l’adoption de la loi de sécurité intérieure, Loppsi II, remplaçant le terme de vidéo-surveillance par celui de vidéo-protection. Les débats de juillet au conseil municipal à propos de l’installation de 54 nouvelles caméras l’ont conforté dans cette idée.

Rendue publique ce lundi, et bientôt disponible sur le site Internet de la Ville, la nouvelle charte d’éthique détaille, pour la première fois, les dispositions prises par la Ville pour préserver la liberté des Lyonnais. Le principe de masquage dynamique occultant automatiquement les partie privées situées dans le champ des caméras y est expliqué, tout comme le délai de conservation des images de quinze jours au lieu d’un mois comme prévu par la loi, etc. "Nous voulions mettre fin à certains fantasmes, répondre aux questionnement des uns et des autres pour permettre à tous de débattre du sujet sur la base d’éléments concrets", précise Daniel Chabanol...

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